縱有疾風(fēng)起,人生不言棄是什么意思?
- 教育綜合
- 2023-02-28 17:44:06
縱有疾風(fēng)起,人生不言棄是什么意思
縱有疾風(fēng)起,人生不言棄的字面意思是說縱然有猛烈的風(fēng)刮起,人生也不要輕言放棄。
這里的“疾風(fēng)”用以比擬人生的困難和挫折,因此其言外之意是說即使人生道路曲折,會經(jīng)歷各種各樣的艱難絆腳石,也不要輕易放棄,要直面人生的困境。
“縱有疾風(fēng)起,人生不言棄”是瓦雷里《海濱墓園》的詩句。
作者簡介:
保爾·瓦雷里(Paul Valery,1871~1945),法國象征派大師,法蘭西學(xué)院院士。保爾·瓦雷里在大學(xué)時代便突現(xiàn)出他的詩歌天賦,當(dāng)時就有報紙預(yù)言:“他的名字將在人們的口頭傳頌。”但在結(jié)束法學(xué)院的學(xué)業(yè),獲得法學(xué)士學(xué)位的前后,一種柏拉圖式的清心寡欲情緒控制了他。
1892年9月他同家人前往熱那亞度假,在一個暴風(fēng)雨交加的“可怕的夜晚”,他決定放棄詩歌和愛情,獻(xiàn)身于“純粹的和無私的知識?!痹谄浜蟮亩嗄?,瓦雷里在國防部、哈瓦斯通訊社等處工作,但求知和深思的習(xí)慣,已成為他的生命根源了。
相關(guān)作品:
日本動畫導(dǎo)演宮崎駿2013年動畫電影《起風(fēng)了》,主題思想“唯有努力試著生存(いざ 生きめやも)”──出自于堀辰雄的小說《風(fēng)吹了》中,引用法國詩人保羅·瓦勒里的《海濱墓園》(Le cimetière marin)里一句話“il faut tenter de vivre”。
“縱有疾風(fēng)起,人生不言棄”什么意思?
“縱有疾風(fēng)起,人生不言棄”的意思是即使有風(fēng)吹雨打,也不能放棄人生。這里的“疾風(fēng)”字面意思是強(qiáng)勁的風(fēng),實際上就指人生中的坎坷、磨難,這些坎坷磨難就像自然界中刮風(fēng)下雨是一樣的,是客觀存在的,不可避免的,所以即使我們遇到了人生中的風(fēng)風(fēng)雨雨,也不能輕言放棄人生。 風(fēng)起云涌時,奮力求生存。的意思是:起風(fēng)了,唯有努力生存,人生不能輕易放棄,縱使前路坎坷,也要加油奔跑,到達(dá)自己想去的遠(yuǎn)方。 整句話的意思是縱然有猛烈的風(fēng)刮起,人生也不要輕言放棄。即使是大風(fēng)刮起,烏云涌上,也要盡自己最大的努力生存下來,用來形容人生的挫折起伏很大。 通過對自然現(xiàn)象的闡述來強(qiáng)調(diào)規(guī)律的重要,告誡人們要看淡風(fēng)雨,尊重規(guī)律;后兩句以假設(shè)縱有疾風(fēng)起人生不言棄什么意思?
意思為:縱有疾風(fēng)起,人生不言棄。提倡一種不言敗的精神。
出自保爾·瓦雷里的《海濱墓園》。
作品譯文
作者:保爾·瓦雷里
譯者:卞之琳
這片平靜的房頂上有白鴿蕩漾。
它透過松林和墳叢,悸動而閃亮。
公正的“中午”在那里用火焰織成
大海,大海啊永遠(yuǎn)在重新開始!
多好的酬勞啊.經(jīng)過了一番深思,
終得以放眼遠(yuǎn)眺神明的寧靜!
微沫形成的鉆石多到無數(shù),
消耗著精細(xì)的閃電多深的功夫,
多深的安靜儼然在交融創(chuàng)造!
太陽休息在萬丈深淵的上空,
為一種永恒事業(yè)的純粹勞動,
“時光”在閃爍,“夢想”就是悟道。
穩(wěn)定的寶庫,單純的米奈芙神殿,
安靜像山積,矜持為目所能見,
目空一切的海水啊,穿水的“眼睛”
守望著多沉的安眠在火幕底下,
我的沉默??!……靈魂深處的大廈,
卻只見萬瓦鑲成的金頂、房頂!
“時間”的神殿,總括為一聲長嘆,
我攀登,我適應(yīng)這個純粹的頂點,
環(huán)顧大海,不出我視野的邊際,
作為我對神祇的最高的獻(xiàn)供,
茫茫里寧穆的閃光,直向高空,
播送出一瞥凌駕乾坤的藐視。
正像果實融化而成了快慰,
正像它把消失換成了甘美
就憑它在一張嘴里的形體消亡,
我在此吸吮著我的未來的煙云,
而青天對我枯了形容的靈魂
歌唱著有形的涯岸變成了繁響。
美的天,真的天,看我多么會變!
經(jīng)過了多大的倨傲,經(jīng)過了多少年
離奇的閑散,盡管精力充沛,
我竟委身于這片光華的寥廓;
死者的住處上我的幽靈掠過,
驅(qū)使我隨它的輕步,而躑躅,徘徊。
整個的靈魂暴露給夏至的火把,
我敢正視你,驚人的一片光華
放出的公正,不怕你無情的利箭!
我把稱干干凈凈歸還到原位,
你來自鑒吧!……而這樣送回光輝,
也就將玄秘招回了幽深的一半。
啊,為了我自己,為我所獨有,
靠近我的心,象近詩情的源頭,
介乎空無所有和純粹的行動,
我等待回聲,來自內(nèi)在的宏麗,
苦澀,陰沉而又嘹亮的水池,
震響靈魂里永遠(yuǎn)是再來的空洞。
知道嗎,你這個為枝葉虛捕的海灣,
實際上吞噬著這些細(xì)瘦的鐵柵,
任我閉眼也感到奧秘刺目,
是什么軀體拉我看懶散的收場,
是什么頭腦引我訪埋骨的地方?
一星光在那里想我不在的親故。
充滿了無形的火焰,緊閉,圣潔,
這是獻(xiàn)給光明的一片土地,
高架起一柱柱火炬,我喜歡這地點,
這里是金石交織,樹影幢幢,
多少塊大理石顫抖在多少個陰魂上;
忠實的大海倚我的墳叢而安眠。
出色的忠犬,把偶像崇拜者趕跑!
讓我,孤獨者,帶著牧羊人笑貌,
悠然在這里放牧神秘的綿羊——
我這些寧靜的墳?zāi)梗妆缌郑?/p>
趕走那些小心翼翼的鴿群.
那些好奇的天使、空浮的夢想!
人來了,未來卻是充滿了懶意,
干脆的蟬聲擦刮著干燥的土地;
一切都燒了,毀了,化為灰燼,
轉(zhuǎn)化為什么樣一種純粹的精華……
為煙消云散所陶醉,生命無涯,
苦味變成了甜味,神志清明。
死者埋藏在墳塋里安然休息,
受土地重溫,烤干了身上的神秘。
高處的“正午”,紋絲不動的“正午”
由內(nèi)而自我凝神,自我璀璨……
完善的頭腦,十全十美的寶冠,
我是你里邊秘密變化的因素。
你只有我一個擔(dān)當(dāng)你的恐懼!
我的后悔和拘束,我的疑慮,
就是你宏偉的寶石發(fā)生的裂縫!……
但是啊,大理石底下夜色沉沉,
卻有朦朧的人群,靠近樹根.
早已慢慢地接受了你的豐功。
他們已經(jīng)溶化成虛空的一堆,
紅紅的泥土吸收了白白的同類,
生命的才華轉(zhuǎn)進(jìn)了花卉去舒放!
死者當(dāng)年的習(xí)語、個人的風(fēng)采、
各具一格的心竅,而今何在?
蛆蟲織絲在原來涌淚的眼眶。
那些女子被撩撥而逗起的尖叫,
那些明眸皓齒,那些濕漉漉的睫毛,
喜歡玩火的那種迷人的酥胸,
相迎的嘴唇激起的滿臉紅暈.
最后的禮物,用手指招架的輕盈,
都?xì)w了塵土,還原為一場春夢。
而你,偉大的靈魂,可要個幻景
而又不帶這里的澄碧和黃金
為肉眼造成的這種錯覺的色彩?
你煙消云散可還會歌唱不息?
得!都完了!我存在也就有空隙,
神圣的焦躁也同樣會永遠(yuǎn)不再。
瘦骨嶙峋而披金穿黑的“不朽”
戴著可憎的月桂冠冕的慰藉手,
就會把死亡幻變成慈母的懷抱,
美好的海市蜃樓,虔敬的把戲!
誰不會一眼看穿,誰會受欺——
看這副空骷髏,聽這場永恒的玩笑!
深沉的父老,頭腦里失去了住戶,
身上負(fù)荷著那么些一鏟鏟泥土,
就是土地了,聽不見我們走過,
真正的大饕,辯駁不倒的蠕蟲
并不是為你們石板下長眠的大眾,
它就靠生命而生活,它從不離開我!
愛情嗎?也許是對我自己的憎恨?
它一副秘密的牙齒總跟我接近,
用什么名字來叫它都會適宜!
管它呢!它能瞧,能要,它能想,能碰,
它喜歡我的肉,它會追隨我上床,
我活著就因為從屬于它這點生機(jī)!
齊諾!殘忍的齊諾!伊里亞齊諾!
你用一枚箭穿透了我的心窩,
盡管它抖動了,飛了,而又并不飛!
弦響使我生,箭到就使我喪命!
太陽??!……靈魂承受了多重的龜影,
阿基利不動,盡管他用足了飛毛腿!
不,不!……起來!投入不斷的未來!
我的身體啊,砸碎沉思的形態(tài)!
我的胸懷啊,暢飲風(fēng)催的新生!
從大海發(fā)出的一股新鮮氣息
還了我靈魂……啊,咸味的魄力!
奔赴海浪去,跑回來一身是勁!
對!賦予了譫狂天災(zāi)的大海,
斑斑的豹皮,絢麗的披肩上綻開
太陽的千百種,千百種詭奇的形象,
絕對的海蛇怪.為你的藍(lán)肉所陶醉,
還在銜著你粼粼閃光的白龍尾,
攪起了表面像寂靜的一片喧嚷。
風(fēng)起,唯有努力生存!
天邊的氣流翻開又闔上了我的書,
波濤敢于從巉巖口濺沫飛迸!
飛去吧,令人眼花繚亂的書頁!
迸裂吧,波浪!用漫天狂瀾來打裂
這片有白帆啄食的平靜的房頂。
法語原文
Le cimetière marin
Paul Valéry
Ce toit tranquille, où marchent des colombes,
Entre les pins palpite, entre les tombes;
Midi le juste y compose de feux
La mer, la mer, toujours recommencee
O récompense après une pensée
Qu'un long regard sur le calme des dieux!
Quel pur travail de fins éclairs consume
Maint diamant d'imperceptible écume,
Et quelle paix semble se concevoir!
Quand sur l'ab?me un soleil se repose,
Ouvrages purs d'une éternelle cause,
Le temps scintille et le songe est savoir.
Stable trésor, temple simple à Minerve,
Masse de calme, et visible réserve,
Eau sourcilleuse, Oeil qui gardes en toi
Tant de sommeil sous une voile de flamme,
O mon silence! . . . édifice dans l'ame,
Mais comble d'or aux mille tuiles, Toit!
Temple du Temps, qu'un seul soupir résume,
à ce point pur je monte et m'accoutume,
Tout entouré de mon regard marin;
Et comme aux dieux mon offrande suprême,
La scintillation sereine sème
Sur l'altitude un dédain souverain.
Comme le fruit se fond en jouissance,
Comme en délice il change son absence
Dans une bouche où sa forme se meurt,
Je hume ici ma future fumée,
Et le ciel chante à l'ame consumée
Le changement des rives en rumeur.
Beau ciel, vrai ciel, regarde-moi qui change!
Après tant d'orgueil, après tant d'étrange
Oisiveté, mais pleine de pouvoir,
Je m'abandonne à ce brillant espace,
Sur les maisons des morts mon ombre passe
Qui m'apprivoise à son frêle mouvoir.
L'ame exposée aux torches du solstice,
Je te soutiens, admirable justice
De la lumière aux armes sans pitié!
Je te tends pure à ta place première,
Regarde-toi! . . . Mais rendre la lumière
Suppose d'ombre une morne moitié.
O pour moi seul, à moi seul, en moi-même,
Auprès d'un coeur, aux sources du poème,
Entre le vide et l'événement pur,
J'attends l'écho de ma grandeur interne,
Amère, sombre, et sonore citerne,
Sonnant dans l'ame un creux toujours futur!
Sais-tu, fausse captive des feuillages,
Golfe mangeur de ces maigres grillages,
Sur mes yeux clos, secrets éblouissants,
Quel corps me tra?ne à sa fin paresseuse,
Quel front l'attire à cette terre osseuse?
Une étincelle y pense à mes absents.
Fermé, sacré, plein d'un feu sans matière,
Fragment terrestre offert à la lumière,
Ce lieu me pla?t, dominé de flambeaux,
Composé d'or, de pierre et d'arbres sombres,
Où tant de marbre est tremblant sur tant d'ombres;
La mer fidèle y dort sur mes tombeaux!
Chienne splendide, écarte l'idolatre!
Quand solitaire au sourire de patre,
Je pais longtemps, moutons mystérieux,
Le blanc troupeau de mes tranquilles tombes,
éloignes-en les prudentes colombes,
Les songes vains, les anges curieux!
Ici venu, l'avenir est paresse.
L'insecte net gratte la sécheresse;
Tout est br?lé, défait, re?u dans l'air
A je ne sais quelle sévère essence . . .
La vie est vaste, étant ivre d'absence,
Et l'amertume est douce, et l'esprit clair.
Les morts cachés sont bien dans cette terre
Qui les réchauffe et sèche leur mystère.
Midi là-haut, Midi sans mouvement
En soi se pense et convient à soi-même
Tête complète et parfait diadème,
Je suis en toi le secret changement.
Tu n'as que moi pour contenir tes craintes!
Mes repentirs, mes doutes, mes contraintes
Sont le défaut de ton grand diamant! . . .
Mais dans leur nuit toute lourde de marbres,
Un peuple vague aux racines des arbres
A pris déjà ton parti lentement.
Ils ont fondu dans une absence épaisse,
L'argile rouge a bu la blanche espèce,
Le don de vivre a passé dans les fleurs!
Où sont des morts les phrases familières,
L'art personnel, les ames singulières?
La larve file où se formaient les pleurs.
Les cris aigus des filles chatouillées,
Les yeux, les dents, les paupières mouillées,
Le sein charmant qui joue avec le feu,
Le sang qui brille aux lèvres qui se rendent,
Les derniers dons, les doigts qui les défendent,
Tout va sous terre et rentre dans le jeu!
Et vous, grande ame, espérez-vous un songe
Qui n'aura plus ces couleurs de mensonge
Qu'aux yeux de chair l'onde et l'or font ici?
Chanterez-vous quand serez vaporeuse?
Allez! Tout fuit! Ma présence est poreuse,
La sainte impatience meurt aussi!
Maigre immortalité noire et dorée,
Consolatrice affreusement laurée,
Qui de la mort fais un sein maternel,
Le beau mensonge et la pieuse ruse!
Qui ne conna?t, et qui ne les refuse,
Ce crane vide et ce rire éternel!
Pères profonds, têtes inhabitées,
Qui sous le poids de tant de pelletées,
êtes la terre et confondez nos pas,
Le vrai rongeur, le ver irréfutable
N'est point pour vous qui dormez sous la table,
Il vit de vie, il ne me quitte pas!
Amour, peut-être, ou de moi-même haine?
Sa dent secrète est de moi si prochaine
Que tous les noms lui peuvent convenir!
Qu'importe! Il voit, il veut, il songe, il touche!
Ma chair lui pla?t, et jusque sur ma couche,
à ce vivant je vis d'appartenir!
Zénon! Cruel Zénon! Zénon d'êlée!
M'as-tu percé de cette flèche ailée
Qui vibre, vole, et qui ne vole pas!
Le son m'enfante et la flèche me tue!
Ah! le soleil . . . Quelle ombre de tortue
Pour l'ame, Achille immobile à grands pas!
Non, non! . . . Debout! Dans l'ère successive!
Brisez, mon corps, cette forme pensive!
Buvez, mon sein, la naissance du vent!
Une fra?cheur, de la mer exhalée,
Me rend mon ame . . . O puissance salée!
Courons à l'onde en rejaillir vivant.
Oui! grande mer de delires douée,
Peau de panthère et chlamyde trouée,
De mille et mille idoles du soleil,
Hydre absolue, ivre de ta chair bleue,
Qui te remords l'étincelante queue
Dans un tumulte au silence pareil
Le vent se lève! . . . il faut tenter de vivre!
L'air immense ouvre et referme mon livre,
La vague en poudre ose jaillir des rocs!
Envolez-vous, pages tout éblouies!
Rompez, vagues! Rompez d'eaux rejouies
Ce toit tranquille où picoraient des focs!
拓展資料
作者簡介
保爾·瓦雷里(Paul Valery,1871~1945),法國象征派大師,法蘭西學(xué)院院士。保爾·瓦雷里在大學(xué)時代便突現(xiàn)出他的詩歌天賦,當(dāng)時就有報紙預(yù)言:“他的名字將在人們的口頭傳頌。”但在結(jié)束法學(xué)院的學(xué)業(yè),獲得法學(xué)士學(xué)位的前后,一種柏拉圖式的清心寡欲情緒控制了他。
1892年9月他同家人前往熱那亞度假,在一個暴風(fēng)雨交加的“可怕的夜晚”,他決定放棄詩歌和愛情,獻(xiàn)身于“純粹的和無私的知識。”在其后的二十多年,瓦雷里在國防部、哈瓦斯通訊社等處工作,但求知和深思的習(xí)慣,已成為他的生命根源了。
經(jīng)典文段
最后的禮物,用手指招架的輕盈,都?xì)w了塵土,還原為一場春夢。
起來!投入不斷的未來! 我的身體?。≡宜槌了嫉男螒B(tài)! 我的胸懷啊,暢飲風(fēng)催的新生!
起風(fēng)了!……只有試著活下去一條路! 天邊的氣流翻開又合上了我的書,波濤敢于從巉巖口濺沫飛迸!
縱有疾風(fēng)起,人生不言棄
縱有疾風(fēng)起人生不言棄什么意思
釋義:
縱使疾風(fēng)起人生不言棄的意思是人生中即使面對嚴(yán)峻的困難挫折也不要輕易放棄,表達(dá)的是面對人生中的困難挫折始終不言棄,勇敢迎上的精神。
“疾風(fēng)”喻指人生路上經(jīng)歷的困難挫折,“疾風(fēng)起”也就是指遇到困難挫折,“不言棄”可以直譯為不輕言放棄,指的是不放棄的意思,所以整句話的意思就是人生中即使面對困難挫折也不要輕易放棄。
出處:《風(fēng)吹了》
作者:法國詩人-保羅·瓦勒里
擴(kuò)展資料
作品簡述:
繼2008年《懸崖上的金魚公主》以來宮崎駿時隔5年再度親自擔(dān)任監(jiān)督的劇場版動畫,原作是宮崎監(jiān)督在《月刊Model Graphix》連載中的同名漫畫,描寫是日本航空之父、零式戰(zhàn)機(jī)的開發(fā)者堀越二郎年輕時的故事。
此外日本小說家堀辰雄也曾創(chuàng)作過一本以《風(fēng)雪黃昏》為題的中篇小說,是以1934年至1936年期間,堀辰雄與染上肺結(jié)核的妻子矢野凌子在長野縣富士見高原療養(yǎng)所生活的點滴為題材改編的故事。
宮崎駿監(jiān)督在漫畫版《風(fēng)雪黃昏》中引用了這部小說的部分內(nèi)容,而對于這次劇場版動畫他則表示是為了向堀越二郎和堀辰雄兩位致敬而拍攝。這部電影完全像是為了成人所打造,其中所蘊(yùn)含,所想要表達(dá)的道理值得每個人的深思。
參考資料來源:百度百科-風(fēng)吹了
縱使疾風(fēng)起,人生不言棄是什么意思?
“縱使疾風(fēng)起,人生不言棄”出自法國詩人瓦雷里《海濱墓園》(Christina Rossetti) 的一句詩,原句是Le vent se lève, il faut tenter de vivre。
后來堀辰雄(日本短篇小說家)將該句詩譯為"風(fēng)立ちぬ、いざ生きめやも",譯為中文也就是“縱使疾風(fēng)起,人生不言棄”。
宮崎駿監(jiān)制的劇場版動畫《風(fēng)雪黃昏》(風(fēng)立ちぬ),其片名就是源自保羅·瓦勒里這句詩,意思是“起風(fēng)了”。而動畫海報中的宣傳詞“いざ生きめやも”也就是詩句下半部分,則代表著“唯有努力試著生存”的意思。
擴(kuò)展資料
“縱有疾風(fēng)起,人生不言棄”的下句是“風(fēng)起云涌時,奮力求生存。”
“縱有疾風(fēng)起,人生不言棄”表達(dá)的是面對人生中的困難挫折始終不言棄,勇敢迎上的精神?!凹诧L(fēng)”喻指人生路上經(jīng)歷的困難挫折,“不言棄”可以直譯為不輕言放棄,指的是不放棄的意思,所以無論遇到什么樣的困難和挫折,也不要放棄,應(yīng)當(dāng)迎難而上,努力拼搏,力求生存。
參考資料來源:百度百科--風(fēng)吹了
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